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Comment peut-on faire des économies sans infliger aux salariés et services des conditions difficiles ?

Comment peut-on faire des économies sans infliger aux salariés et services des conditions difficiles ? Comment rendre les intéressés plus positifs et acteurs de ces changements ?

Une hypothèse n’est peut-être pas assez souvent étudiée : celle de donner aux différents salariés ou collaborateurs les moyens d’être plus efficace à leur poste et ce, en stimulant leurs capacités transverses à la recherche de solutions.

La main d’oeuvre est souvent ressentie comme onéreuse, mais que fait-on du potentiel intellectuel et mental de chaque collaborateur à mieux concevoir, à mieux gérer, à améliorer ses pratiques ? Un geste mieux pensé, un regard nouveau sur les tâches habituelles ne peuvent-ils pas générer des gains de temps, réduire des pertes et valoriser celui qui en est l’auteur.

Les démarches de co-développement des capacités transverses sont des moyens de stimulation de chacun.

Pourquoi ne pas considérer la situation actuelle comme une opportunité à dynamiser l’approche de chacun à son poste plutôt que de déplorer le stress ou l’oppression qu’elle engendre ?

Les démarches de co-développement des capacités à mieux appréhender les situations habituelles et nouvelles facilitent de telles options.

Par ailleurs la réforme de la formation professionnelle va conduire les entreprises à proposer à CHAQUE salarié un parcours qualifiant. Les démarches dites « pour apprendre à apprendre » sont aussi mises en oeuvre comme support de pré-qualification.

L’article L6321-1 impose deux buts aux entreprises en matière de formation professionnelle

L’article L6321-1 impose deux buts aux entreprises en matière de formation professionnelle : « L’employeur assure l’adaptation des salariés à leur poste de travail. Il veille au maintien de leur capacité à occuper un emploi, au regard notamment de l’évolution des emplois, des technologies et des organisations. »

 La sanction du défaut de #formation professionnelle : des dommages-intérêts http://ow.ly/wOd5c

 Cette information indiquerait une corrélation de fait avec les objectifs de la réforme de la formation professionnelle, même si aucun lié n’est probablement avéré. L’entreprise va devoir dynamiser l’appétence pour la formation de tous les salariés du privé qui ne sentent pas nécessairement motivés pour évoluer ou se perfectionner.  Les risques qui sont présentés dans l’article seront doublés de ceux véhiculés part la nouvelle loi avec d’abondement de 100 heures de CPF.

Comment engager un tel processus dans une démarche dans laquelle l’entreprise comme le salarié gagneront ensemble, les uns sur le plan personnel et professionnel et le second en terme de retour sur investissement et d’amélioration de l’efficacité ? Notre expertise permet d’en étudier le projet et sa mise en œuvre.

Jean-Louis Vincent,

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