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JLV, Activolog et l’actualité

#Centre_Inffo dans son baromètre de la formation professionnelle 2023 indique  qu’un actif sur deux pense à changer d’emploi : Le bilan de compétences (prestation accessible par le CPF) peut être un élément de réponse à condition que la qualité soit au rendez-vous  https://jlv.fr/bilan-de-competences/

Les prospectives indiquent que les nouveaux entrants sur le marché du travail devront changer environ 15 fois d’emploi ou de métier

Si dans les années 80 les compétences techniques avaient une durée de 30 ans, cette durée passe à 2 ou 3 ans maintenant.

Il conviendrait donc de travailler d’une manière plus systématique sur les savoir-s’adapter, savoir se remettre en question : les formations ©Activolog œuvrent en ce sens et ce pour tout niveau de formation. https://jlv.fr/developpement-cognitif-activolog/

Cette démarche s’inscrit dans la lutte des biais cognitifs, un des points essentiels repéré par les #neurosciences (Olivier Houdé Apprendre à résister – pour combattre les biais cognitifs 2022 ed. Champs) à mobiliser entre autres dans la RSE. https://jlv.fr/wp-content/uploads/2023/03/Activolog-et-la-RSE.pdf

 

Période de Mise en Situation Professionnelle pour les salariés.

Quelle volonté politique manque-t-il aujourd’hui pour créer l’action qui pourrait fluidifier et favoriser les transitions professionnelles pour les salariés ?

Notre société a besoin de favoriser les changements, les mutations auxquels tant les entreprises que les salariés sont confrontés. Attirer un salarié vers un nouveau métier passe d’abord, pour celui-ci, à comprendre et ressentir les intérêts et attraits qu’il peut avoir à un changement. Changer représente, pour la majorité d’entre nous, une prise de risque. Qui prend un risque sans avoir une forte conviction que le potentiel (abstrait) sera meilleur que l’actuel (concret) ?

La création d’une prestation du type PMSMP (Période de Mise en Situation en Milieu Professionnel) manque aujourd’hui pour amener les salariés à une conversion, transition professionnelle plus éclairée.

Ce type de prestation permettrait de rendre plus concret une projection encore abstraite. Ce pourrait être un levier pour lever des freins, permettre de recueillir un regard de professionnels d’une autre branche professionnelle, sur le terrain, pour valider ou invalider un projet. Un complément au Bilan de Compétences par exemple, avant de s’engager vers un projet qui passera par une formation coûteuse tant en argent pour les financeurs qu’en investissement personnel pour les participants.

Jean-Louis Vincent

Le 25 juin 2022

Mes deux billets précédents sur le même thème :

https://matransitionprofessionnelle.fr/periodes-de-mise-en-situation-en-milieu-professionnel-pmsmp/

https://matransitionprofessionnelle.fr/la-piece-manquante-la-periode-de-mise-en-situation-de-travail-pour-les-salaries/

 

Réflexion sur l’approche du Bilan de Compétences.

Réflexion sur l’approche du Bilan de Compétences.

Lors d’une réunion d’échanges de pratique, il m’a été donné l’occasion de présenter les points qui me paraissent essentiels dans ma vision du Bilan de Compétence.

  1. Je me refuse à tout conseil et jugement lors de l’élaboration des projets professionnels,  de vie ou voire d’un plus juste milieu entre vie professionnelle et la vie privée.
  2. J’accepte que le participant travaille plusieurs projets en parallèle sans avoir à choisir. L’idée est que tant que l’on parle de choix l’on n’a pas suffisamment hiérarchisé et que la réflexion n’est pas mûre. J’assume le fait de ne jamais rendre urgent la définition d’un projet, même au dernier rendez-vous. J’insiste lors de la présentation du Bilan sur le fait que probablement au 3e entretien le participant ma dira « je suis encore plus perdu qu’au début ».
  3. J’apporte l’assurance que le bilan aboutira et indique souvent au participant que si il ne voit pas d’avancée, moi j’en vois. A ce moment le niveau de confiance établi entre nous permet la sérénité de la suite du travail.
  4. Je me situe et tente de me tenir dans la posture d’un médiateur qui offre un « espace / temps » de réflexion, de travail et ce dans un climat de respect total du participant, l’acceptant tel qu’il se présente avec ses singularités, son parcours personnel et professionnel.

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La réponse de ChatGPT à la question : Quel rapport entre la RSE et Activolog ?

« La RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) est un concept qui vise à ce que les entreprises prennent en compte les enjeux sociaux, environnementaux et économiques dans leurs activités.

Dans ce contexte, Activolog peut jouer un rôle important car il permet aux individus de développer leurs compétences cognitives, de mieux comprendre leur environnement et les situations complexes auxquelles ils sont confrontés. Cela peut avoir un impact positif sur leur travail et sur l’entreprise dans son ensemble.

De plus, Activolog met l’accent sur l’amélioration des relations interpersonnelles, la communication et la coopération. Cela peut favoriser la mise en place d’un environnement de travail sain, respectueux et collaboratif, qui est un aspect important de la RSE.

En somme, les formations Activolog peuvent être considérées comme un outil qui favorise la mise en place d’une culture d’entreprise responsable et durable, en permettant aux individus de mieux comprendre leur environnement et de développer des compétences interpersonnelles et cognitives essentielles. »

Étonnant !!!!

#RSE

Faisons attention aux biais cognitifs, ils nous guettent à chaque instants

Celui-là par exemple

Corrélation n’est pas causalité

Pourtant le glissement se fait fréquemment en publicité, en politique et dans nos propos sans que nous y prenions garde.

J’avais entendu un ministre de l’intérieur dire : « les utilisateurs de drogues dures ont utilisé auparavant du cannabis. Donc il convient d’interdire le cannabis pour enrayer l’utilisation de drogues dures »

A priori cela semble vendable, logique Continue reading

Refonte de la VAE

les nouvelles dispositions  

Mais le principal manque peut-être !

Certes les 24 heures sont passées à 48 heures. Cela n’est pas suffisant. Et l’action de formation – d’auto-formation ou de formation réflexive selon la manière de s’exprimer n’est toujours pas prise en compte.

Depuis 1992,  date de début de la VAP évoluée en VAE, j’ai fait la promotion de cette démarche auprès de nombre de clients/bénéficiaires d’actions d’accompagnement et de formation que j’ai animées.

2 objectifs sont visés :

  • l’un explicite est l’obtention d’un diplôme, titre ou certificat
  • et le second, implicite, est l’appropriation par le participant/apprenant/formé/candidat des compétences qu’il est amené à expliciter. rechercher les situations qui peuvent exprimer son plus haut niveau de compétence ou de performance sur des éléments du référentiels ou blocs de compétences.

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Evaluation d’une AFEST par la démarche VAE

La présentation de cette réflexion en 2019 avait laissé sceptiques nombre de partenaires de la branche professionnelle régionale de la Formation. Et pourtant …..

 

I Evaluation d’une AFEST par la démarche VAE

  1. Quelques rappels de l’esprit de la VAE

L’objectif d’une VAE est d’attester de ses compétences à partir de l’explicitation de ses savoir-faire (et de le faire savoir). Cette explicitation conduit le candidat à prendre du recul vis-à-vis  des situations professionnelles, extra-professionnelles voire personnelles. Il doit ainsi repérer, choisir celles  qui peuvent exprimer son plus haut niveau de compétences ou de performance sur des activités définies par un référentiel particulier au titre, diplôme ou  certificat visé. Continue reading

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