L’article L6321-1 impose deux buts aux entreprises en matière de formation professionnelle : « L’employeur assure l’adaptation des salariés à leur poste de travail. Il veille au maintien de leur capacité à occuper un emploi, au regard notamment de l’évolution des emplois, des technologies et des organisations. »

 La sanction du défaut de #formation professionnelle : des dommages-intérêts http://ow.ly/wOd5c

 Cette information indiquerait une corrélation de fait avec les objectifs de la réforme de la formation professionnelle, même si aucun lié n’est probablement avéré. L’entreprise va devoir dynamiser l’appétence pour la formation de tous les salariés du privé qui ne sentent pas nécessairement motivés pour évoluer ou se perfectionner.  Les risques qui sont présentés dans l’article seront doublés de ceux véhiculés part la nouvelle loi avec d’abondement de 100 heures de CPF.

Comment engager un tel processus dans une démarche dans laquelle l’entreprise comme le salarié gagneront ensemble, les uns sur le plan personnel et professionnel et le second en terme de retour sur investissement et d’amélioration de l’efficacité ? Notre expertise permet d’en étudier le projet et sa mise en œuvre.

Jean-Louis Vincent,